Syliaca la Naturelle

Identité.

Prénom: Syliaca
Nom: Polia
Surnom: Protectrice de la Nature
Âge: 19 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine

Physique.

Taille : 1m65
Poids : Mince et une ligne équilibré
Cheveux : Une très longue cheveulure d'un blond un peu foncé, une coupe assez méconnu mais assez jolie tenue par des par des fleurs.
Yeux, regard : Des yeux très fins, euh... ronds ^^ mais c'est un regard glaçant.
Visage : Un visage pâle, tatoué de marque rouge, une rouge à lèvre rouge t'es foncé.
Vêtements: Un veston de cuir avec des manches en tissus. Cela lui couvre que la poitrine et laisse visible ses ventre et d'autres marques. Elle porte une sorte de pantalon en tissus avec une ceinture de fleur. Tout ces vêtement étant assez sombre.
Particularité(s) physiques : Elle est très charmante, une bonne ligne, elle est assez attirante appart son regards assez froid.

Personnalité.

Alignement: Elle a un alignement bon, elle est là pour le bien et non pour tuer n'importe qui se dresserait sur son chemin. Elle est plein de tendresse et de volonté de bien faire.
Caractère général: Elle est assez gentille, malgré son aspect tendre, elle a un caractère de guerrière, elle ne veut pas la guerre mais quand il faut y aller, elle y va. Elle aime qu'on l'a complimente et elle est sensible au poésie. Vivant dans la nature pendant longtemps, c'est une fille très indépendante et elle sait ce débrouiller seule. Au contraire elle n'aime pas les laches, elle n'aime pas manger des choses trop grasse, elle essaye de garder une ligne et une forme équilibré.

Histoire

Mon nom est Syliaca, je vais vous conter comment c’est dérouler mon histoire avant ma réelle entrée dans le monde de Misanris.
J’étais toute petite, j’habitais avec mes parents dans une grande forêt et non cohabitions avec d’autres humains, des elfes et des lutins. Certains vieil homme et d’autres avait acquis des essences de pouvoirs. Chacun avait sa magie propre, un avait l’eau, un autre les plantes etc. Ils permettaient à notre petit village de bien se porté et que nous n’ayons pas de soucis avec la nature. Tout les soirs, ils contaient aux enfants leurs périple dans les temples et leurs discutions avec les gardiens. J’observais avec contemplation tout se petit monde qui vivaient sans se soucier du monde qui les entouraient. Nous étions bien loin du monde de Misanris et très loin d’autre contrée. Malheureusement un jour, un homme se disant prophète arriva dans notre village.
Avec stupeur, on apprit qu’il y avoir une attaque sur notre forêt car elle appartenait il y a bien longtemps à un Seigneur de guerre. Le prophète nous informa que les monstres qui allaient nous attaquez étaient munis d’arme flamboyantes et de techniques maîtrisant le feu. Tout le village fut étonné et se prépara à la bataille. Tous les enfants furent mis dans des abris avec leurs mères et assez de nourriture pour vivre. J’avais encore 15 ans et je ne voulais pas être enfermée dans ces abris. Je voulais me battre pour le peuple que ma famille avait toujours soutenu.
La jeune fille couru voir son père, elle paniquait, elle tremblait de partout.

-Syliaca ne t’énerve pas comme cela. Tout vas bien ce passé, tu es en toute sécurité avec moi.
-Mais…mais les monstres… ne t’inquiètent pas ?
-Tu sais, ton entrainement avec moi, à chaque face au bête sauvage à la chasse tu t’en tirer bien. Tu manies extrêmement bien ma lame. J’ai une deuxième lame à disposition, je vais te donner ma Lame. Tu vas fuir dans la forêt, nous sommes assez éloignés des villages mais il y a une ville quand même assez proche.
-Ah oui ? Mais laquelle ?
-Misanris et ses allentours, j’ai un plan de la forêt avec des points de repère crée par les ermites. Suis se plan et ensuite prends par le nord.
-Pap…
-Ne dit rien et part ! Je suis désolé, je ne pensais pas que cela se passerais comme cela, en Misanris on saura te guider vers la voie qui te conviendra. Prends Toufu avec toi. Je t'aime ma fille...
-Bien… Je t'aime moi aussi papa...

Elle embrassa son père, prit son sac et s’en alla.
La jeune fille partit donc avec Toufu, son jeune chien, heureusement son père lui avait préparé de quoi manger et se débrouiller dans la forêt et pour son voyage. J’avais quelques pièces d’or à disposition, les seules économies que mes parents avait gardé pour que nous puissions nous installé en ville. J’étais effrayée dans la forêt malgré que j’y sois allé des multitudes de fois. Je portais la Lame de mon père que je savais très bien manier. Celle-ci était assez grande, mais très fine. J’espérais ne pas rencontrer de trop gros sanglier ou d’autres bêtes car malgré ma maitrise je n’étais pas apte à me battre face à plus gros que moi.
J’étais enfin sortie de la forêt, j’avais enfin échappé à cette forêt sombre et oppressante.
En cours de route, mes provisions étaient trop minces pour continuer, je pris la décision de m’arrêter dans une maison isolée.
Un vieil homme y habité, j’ai étais très reconnaissant envers lui car il m’a gardé pendant 4 années chez lui. Je m’entrainais régulièrement à l’épée et lui il me montré des petites recettes avec quelques ingrédients. Il est fou de joie d’avoir de la compagnie, de plus il adorait Toufu, et Toufu, lui adorait les petites recettes que ce vieil homme lui préparé. Son père avait eu une essence de pouvoir et ce vieil homme me guida sur mes futur choix car il me dit qu’une fois éveillé en nous l’essence l’est définitivement.
Un jour, le jour de mes 19 ans je décidai de voler de mes propres ailes. Il prit un des ces ânes son vieux chariot et m’amena jusqu’au frontière de Misanris. Il me souhaita bonne chance et en cadeau de remerciement, je lui laissai Toufu. Enfin arrivé à Misanris je découvris un très beau paysage et une merveilleuse ville.
J’avais un désir de vengeance, j’espérais de tout cœur que mon village ne soit pas totalement détruit et j’avais envie de progresser dans se monde en péril.

C’est ici que commence mon histoire dans Misanris… L’histoire de Syliaca…